La quête d’un même Graal anime toutes les entreprises : l’innovation. Sous forme de produits, de services, de design, voire d’organisation… Le rapport résultat/énergies dépensées n’est pas
toujours encourageant.
Pourtant depuis des années se multiplient les outils de production d’idées, véritables presse-citron, supposés faire sortir le jus du crâne de ceux qui sont labellisés créatifs. Alors
?
Lorsque créativité est synonyme de capacité à imaginer, élaborer, accueillir et accepter du nouveau, voici les points qui nous semblent essentiels :
Se focaliser sur la personne plutôt que sur les outils : le piolet ne fait pas l’alpiniste, le logiciel QuarkXpress ne fait pas le directeur artistique… Dans les deux cas, il y a un avant, une préparation de la personne.
Les idées ne sortent pas du crâne, même restreint à son cerveau droit… Innover, donc créer du nouveau, mobilise toutes les dimensions de la personne : sensorielles, perceptives, psychologiques, intellectuelles, émotionnelles, physiologiques,…
Parquer la recherche d’innovation dans un pré carré de personnes estampillées créatives revient d’abord à nier ce que l’on sait depuis plus de cinquante ans : tout le monde dispose d’un potentiel créatif. Et surtout, cette vision prive l’entreprise de l’irrigation fertilisante d’une dynamique innovante « à tous les étages ». Ce qui, de facto, ferait monter le niveau de l’équipe innovation.
Ces trois points forment la base de notre approche :
la nextcréativité s’appuie sur
la créativité fondamentale des individus,
dite aussi créativité impliquée,
pour permettre
à la créativité appliquée de se développer
à tous les niveaux de l’entreprise.
Et cela aussi bien dans le quotidien que pour des problèmes ou des projets spécifiques, bases de véritables innovations.
Cela résonne avec vos préoccupations ?
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